La Fondation CGénial

Créée en 2006, la Fondation CGénial a pour mission de faire connaître les métiers des sciences et des technologies chez les collégien.ne.s et lycéen.ne.s, notamment pour lutter contre les difficultés de recrutement liés à ce domaine. Pour ce faire, elle met en relation le monde professionnel avec le milieu scolaire.

Cet engagement se manifeste par plusieurs actions :

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• Le Concours CGénial, qui réunit le monde industriel ou de la recherche avec des élèves qui travaillent sur un projet didactique et innovant en impliquant un professionnel ou une entreprise
• L’intervention d’ingénieurs et techniciens dans les classes,
• L’opération « Profs en entreprise »,
• Le programme « Yes We Code ! », qui vise à sensibiliser les élèves aux sciences du numérique, à la programmation, à l’innovation et à la démarche projet.

L'implication de Makina Corpus

Sensible à la formation des futurs professionnels du web, Makina Corpus, en partenariat avec l'Opco Atlas et à l’initiative de Numeum, a décidé d'accueillir des professeurs dans ses locaux le 28 mars pour présenter son fonctionnement, ses activités et les différents métiers qui la composent.

Cette démarche entre dans les valeurs de Makina Corpus à la fois en sensibilisant aux logiciels libres, mais également en prônant la mixité dans le monde numérique.

C'est également dans ce but qu'Emmanuelle Helly, développeuse web à Makina Corpus, s'est impliquée dans cette fondation en intervenant dans des classes d’élèves de troisième et de seconde.

Lors de ces rencontres, elle a pu mettre en avant les métiers de l’I.T. (Technologie de l'Information) : le développement web ou embarqué, l'administration système et réseaux, mais également les conditions de travail, ainsi que les études qui mènent à ces fonctions. Ces échanges furent aussi l’occasion de présenter Makina Corpus et son activité, et d'évoquer les logiciels libres, puisque les projets sur lesquels travaille Emmanuelle en font partie.

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C’est une expérience très intéressante pour moi, notamment parce que les questions des élèves me permettent de prendre du recul sur mon métier. C'est aussi l'occasion de leur donner des notions de droit du travail, puisque ce seront des futurs travailleurs. J’ai pu aussi remarquer que les élèves étaient de plus de plus intéressés par les questions du numérique et de son impact sur l'environnement.

Une expérience enrichissante qui laisse présager un bel avenir pour l'open source !